Dans un secteur qui se porte bien, le président de la Confédération nationale du ramonage et de la fumisterie (CNRF) et de la Confédération des ramoneurs savoyards (CRS) évoque les changements majeurs et les préoccupations actuelles d’un métier tourné vers la sécurité.
La directive sur les services de paiement, dite DSP2, est une norme de sécurité, devenue obligatoire pour les sites de e-commerce depuis le 15 mai dernier. Objectif : lutter contre les fraudes à la carte bancaire, tout en protégeant e-commerçants et consommateurs. Elle concerne les paiements en ligne à partir de 30 € d’achat : les artisans sont donc concernés par cette mesure. Mais existe-t-il des exceptions ? Faisons le point.
C’est un fait : les cyber attaques contre le tissu économique français se multiplient. Si les grandes structures disposent de moyens techniques et financiers plus importants que les TPE/PME pour se protéger, ces dernières ne sont pas laissées en reste. L’outil AlterteCyber permet une d’alerter les petites et moyennes entreprises sur les risques auxquelles elles sont exposées tout en proposant un accompagnement efficace vers le numérique. Explications.
Si le nombre de TPE-PME qui a sauté le pas du numérique a bondi avec la crise, les cyberattaques ont également explosées. Le gouvernement a réagi le 20 juillet en présentant un dispositif d’alerte via la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr. Le relai auprès des chefs d’entreprise devrait être assuré par les organisations professionnelles.
Le potentiel numérique des entreprises s'est nettement accéléré ces derniers mois, notamment pour faire face aux nouvelles habitudes de consommation liées à la crise sanitaire (click and collect, vente en ligne, etc.). Si le digital apporte un confort notable dans l’organisation au quotidien, son usage doit être parfaitement sécurisé : c’est pourquoi la cybersécurité est une priorité absolue pour assurer l'activité.
Sécurité
Coiffure-esthétique : une nouvelle offre pour prévenir les risques professionnels
Le 23/02/2021
par Cécile Vicini
L'Assurance Maladie-Risques professionnels et l'INRS (Institut national de recherche et de sécurité) proposent aux professionnels des secteurs de la coiffure, de l’esthétique et de la prothésie ongulaire, une nouvelle offre pour prévenir les risques professionnels. Quelles sont ses spécificités ? Tour d’horizon.
Pour Cécile Pierre, déléguée générale de l’Association pour la visite d’entreprise, "les entreprises ont longtemps préféré vivre cachées. Aujourd’hui, elles comprennent l’importance de la transparence et du contact direct avec le consommateur-citoyen pour établir des relations de confiance sur le long terme."