Numérique

Clique mon commerce : la plateforme pour commencer sa transition numérique

Le 27/09/2022

par Cécile Vicini

L’État, en collaboration avec Bpifrance, la Banque des territoires et les réseaux des CMA et CCI, ont lancé la plateforme "Clique mon commerce" au cours de l'année 2020. Son ambition première était de soutenir l’activité et la digitalisation des commerces de proximité, très impactés par les effets de la crise sanitaire. Cette plateforme est toujours active, et a évolué en devenant un véritable point de référence pour les entrepreneurs désireux d'entamer leur transition numérique.

Comme annoncée par l'ex-ministre délégué aux TPE/PME Alain Griset, la plateforme Clique Mon Commerce a été mise ligne en novembre 2020, dans le cadre du dispositif France Relance.

Sa création est née d'une volonté de simplifier et de faciliter l'accès aux entreprises affectées par les conséquences du premier confinement à des réponses propres à leur projet numérique.

→ Son objectif : permettre à ces entreprises de continuer à vendre leurs produits ou de développer rapidement une activité en ligne.

Comment fonctionne cette plateforme ?

La plateforme clique-mon-commerce.gouv identifie l’ensemble des solutions digitales ayant fait l’objet au préalable d’une labellisation par le Gouvernement.

Pas moins de 40 start-up et développeurs y ont ainsi été référencés, fruits d'un appel à projets lancé en novembre 2020.

En arrivant sur la page d’accueil, les chefs d’entreprise sont invités à renseigner leur type d'activité, leur besoin au vu de leur maturité numérique et leur région. Une liste de solutions et d’offres leur est alors proposée.

Les besoins des chefs d’entreprise peuvent se porter sur :

la création d’un site marchand
le référencement sur une place de marché
le passage à une offre de paiement numérisé
le développement d’un service de livraison
le maintien du contact avec ses clients

Quel est le coût de ces services ?

Pour encourager les petites entreprises à passer le cap du numérique, des tarifs préférentiels ont été négociés par Bercy auprès des acteurs du digital.