Participer à un Salon sur le stand de sa CMA : des avantages à chaque étape !
1. Un accompagnement en amont
L’appui de la CMA démarre bien en amont d’un événement, comme l’explique notre expert Pierre-Étienne Pichon : "Nous sélectionnons d’abord des Salons d’envergure auxquels les artisans n’ont pas forcément accès, par manque de temps ou d’argent, et qui leur permettront de toucher une nouvelle clientèle, de se développer au-delà de leur périmètre habituel."
Un appel à candidatures ciblé est lancé, puis les volontaires totalement pris en charge (sessions collectives, rendez-vous individuels).
"Nous leur faisons bénéficier de notre expérience, les aidons à valoriser au maximum leur présence et la commercialité de l’espace (pièces à sélectionner, posture à tenir…)", Pierre-Etienne Pichon.
2. Une logistique facilitée
Toujours en amont du Salon, la CMA soulage l’artisan de toutes contraintes techniques.
"Nous structurons à 80 % sa démarche ; il devra juste nous fournir le "corpus de communication" (présentation du parcours et des pièces, quelques photos, son avantage concurrentiel…)."
S’apparentant à une véritable "communauté", les participants peuvent aussi s’organiser "pour mutualiser des trajets ou pour que le collègue transporte une pièce conséquente".
Enfin, sur place, les agents de la CMA enfilent de multiples casquettes : "J’amène les journalistes et personnalités sur le stand, distribue les catalogues, organise les moments de convivialité (café, apéro…), m’occupe de l’ouverture et de la fermeture, de créer un coin pratique avec vestiaire et frigo… Les artisans n’ont plus qu’à se concentrer sur leur coeur de métier !"
Participer à un stand collectif crée des liens et des opportunités pour les artisans participants. Ici, au SIPC 2020, autour de Pierre-Etienne Pichon (accroupi au premier rang avec la chemise grise).
3. Un coût maîtrisé
En intégrant un stand collectif, les économies sont substantielles.
Exemple : "Sur le Salon international du patrimoine culturel, qui vient d'avoir lieu au Carrousel du Louvre à Paris, nous réduisons le budget de 50 à 60% pour l’artisan qui débute, grâce à nos partenaires et aux aides.
S’il y allait par ses propres moyens, il payerait 3.000€ pour un espace nu de 9m2 pour trois jours. Sur notre stand, c’est autour de 1.300 € pour un espace confortable, équipé et scénographié, et au moins 30% d’économies sur la signalétique, le catalogue…"
Forts de leur expérience, les agents de la CMA connaissent aussi :
- les écueils à éviter : "les sollicitations proposant des prestations hors de prix, des pubs inutiles, voire fausses, dans des catalogues" ;
- et les bons plans : "où s’approvisionner pour un buffet, du champagne, les parkings et hôtels pas trop chers à proximité, les réductions possibles sur les billets de train ou d’avion".
4. Une visibilité bien orchestrée
Les spécialistes de la CMA (communication, métiers d’art, numérique…) se plient en quatre pour couvrir l’événement et mettre en avant leurs exposants : relations presse dans les territoires, shootings photo et vidéo, relais sur les réseaux sociaux, magazine et site Internet…
"Sur place, nous venons avec tout le mobilier, conçu par une scénographe, qui les accompagne aussi pour choisir quelles pièces seront les plus porteuses."
Et après ? La CMA assure le suivi : "Durant plusieurs mois, nous leur envoyons des questionnaires pour évaluer les retombées de l’événement : le nombre de contacts sérieux, de demandes de devis, les passages de clients en direct, le développement du chiffre d’affaires…"
Le principal indicateur de satisfaction ? "Quand les artisans veulent participer l’année suivante !" Forcément…
>> Les CMA proposent aussi des webinaires, formations et ateliers pour vous aider à bien organiser votre participation à un Salon, renseignez-vous !
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