Acreos : ambition en ligne de mire
L’objet exposé ? Un simulateur d’apprentissage de conduite d’un tractopelle, l’un de nos produits le plus vendu mais aussi le plus facilement conciliable avec les contraintes draconiennes de l’Élysée ! Malheureusement « passif » car non branché : les organisateurs ayant eu peur qu’il soit trop attrayant pour les visiteurs (tout de même 10.000 en 2 jours, ce qui impose une certaine fluidité dans les visites).
Un simulateur d’apprentissage de conduite d’un tractopelle dans le salon de l’Elysée ? Une image sau-grenue rendue possible lors de l'exposition "Fabriqué en France" organisée du 18 et 19 janvier.
Ça fait quoi d’être exposé à l’Élysée ? Le salon d’honneur, dans lequel nous avons eu la chance de nous trouver, est un véritable écrin. C’est presque inimaginable de voir l’un de nos simulateurs ici ! C’est une belle récompense offerte par un Président pro-entreprises, une très grande reconnaissance pour notre équipe, nos partenaires et les clients qui font confiance à nos produits.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, n’a pas résisté à l’appel de l’essai grandeur nature !
Être artisan aujourd’hui ? Dans « artisan », il y a aussi « artiste ». Celui qui crée, invente les produits de demain. Qui met du cœur et toute sa passion dans ce qu’il crée.
Vos projets en 2020 ? Nous sommes en train de développer nos technologies de simulation d’apprentissage aux domaines routiers, ce qui a supposé de très gros investissements. Dès la fin de l’année, nous espérons qu’une personne sur trois qui apprendra à conduire un camion ou un bus sera formée sur un de nos simulateurs (120.000 à 140.000 personnes concernées par an). Nous avons aussi de belles perspectives vers le marché de la conduite automobile, favorisée par le Gouvernement qui encourage à faire baisser le prix du permis de conduire (de 1.500 à 800 €). Les pré-formations sur simulateur en auto-écoles nous offrent des opportunités que nous sommes prêts à saisir. Le savoir-faire est là en tout cas. Pour cela, nous espérons passer à 75-80 salariés dans les 3 ans.
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