Une femme artisan peut être cheffe d’entreprise, apprentie, salariée, conjointe… Concernant ce dernier statut, trois possibilités : conjointe associée, conjointe collaboratrice ou conjointe salariée. Le choix d’un statut est obligatoire depuis la loi du 2 août 2005, et il ne doit pas se faire à la légère.
Plusieurs dispositifs sont mis à disposition des artisans désireux de consolider leur capital de départ et de bénéficier de conseils avisés. En voici une liste.
Partenaire essentiel de la petite entreprise, l’expert-comptable lui fournit une prestation large qui, outre la présentation des comptes, englobe généralement des conseils juridiques, fiscaux et financiers. Cette mission élargie peut-être source de contentieux, mais il existe des solutions pour les régler.