Dans le monde entier, l’artisanat français, tous secteurs confondus, c’est l’art du "faire", du savoir-faire parvenu à une maturité inégalée. Savamment allié à leur savoir-faire unique, l’usage des nouvelles technologies fait d’eux des leaders. Sur le plan de la haute technicité, au service de l’excellence, et donc de l’innovation. Osons donc affirmer que l’avenir de l’économie française est dans la main, leurs mains.
"Ma démarche était portée par un concours d’évidences et non par la volonté de développer un concept." Avec l’envie "de revenir à un pain qui nourrit les gens, celui qu’on mangeait il y a cent ans", Maxime Bussy fabrique, dans son petit local parisien du XXe arrondissement baptisé Le Bricheton, une douzaine de variétés de miches à base de farines paysannes et d’eau de source.
Gérants de la Savonnerie Champagne, Olivier Sionneau et Sidonie Champagne ne font pas du bio pour faire beau. Ils appartiennent à l’organisation Nature & Progrès, qui promeut une agriculture respectant le vivant et délivre le label le plus exigeant et le plus transparent sur le marché bio.
Fondateurs de Nitsn, Leandro Giacalone et Roman Wisznia conçoivent du mobilier aux couleurs de causes environnementales, et reversent 10 % de leurs ventes à des associations. La démarche, inédite, séduit et fédère.
En 2010, le Gouvernement adoptait la loi Grenelle II ; en 2015, l’accord de Paris renforçait cette politique. Objectif : réduire l’empreinte écologique de l’activité des entreprises françaises. Mais ce 11 septembre, le Cese a tiré la sonnette d’alarme : les TPE-PME ne sont pas « armées pour répondre aux objectifs de neutralité carbone ».
Le métier de tanneur-mégissier est caractérisé par la répétition, la précision et l’excellence du geste. Si les professionnels sont peu nombreux, la filière perdure grâce à une diversification guidée par les modes et les préoccupations écologiques. Rencontre avec Jérôme Verdier, dirigeant d’Alran SAS dans le Tarn et président de la Fédération française de la tannerie-mégisserie (FFTM), et Marielle Philip, artisan qui valorise en cuir les déchets de peau de poisson.
Faire des achats groupés d’énergie
Des coûts maîtrisés et des économies
Le 04/09/2018
par Mélanie Kochert
Dans un contexte de marché ouvert, il est aujourd’hui possible de maîtriser ses modalités d’approvisionnement de gaz et d’électricité en participant à des opérations d’achats collectifs d’énergie. Par « effet de masse », il permet de bénéficier de meilleurs tarifs auprès d’un fournisseur et donc de faire baisser sa facture.
Chocolaterie - confiserie
Un nouveau label pour valoriser le cacao équitable
Le 26/06/2018
par Samira Hamiche
La Confédération des chocolatiers confiseurs de France et le Conseil interprofessionnel du cacao et du café du Cameroun s'allient pour faire du cacao camerounais un produit d'excellence. A travers le label "Destination chocolatiers engagés", les chocolatiers français proposeront un produit de qualité, fruit d'une collaboration profondément humaine.
Pratique, voire incontournable pour certains consommateurs, le click & collect supprime l’attente en magasin, laisse le temps de faire son choix et de réserver avant épuisement du stock un produit précis. Des plateformes et des solutions techniques simples, adaptables en magasin et sur Internet, s’offrent aux artisans. Enquête…
Résolument moderne mais farouchement attaché aux fondamentaux de sa profession, le boulanger Christophe Girardet s’active tant au four – dans ses trois points de vente en périphérie lyonnaise – qu’au moulin – grâce à son travail collaboratif avec six agriculteurs et un meunier. Sensible au gaspillage alimentaire, il agit concrètement depuis quelques mois…