Trier ses déchets est devenu une routine. Mais pour les pros, il y a encore du chemin à parcourir... Pour aiguiller les entreprises et leur transmettre les bonnes pratiques, l'Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a récemment édité une brochure.
Avec une volonté accrue de redonner du sens à leur métier, de nombreux artisans décident de revenir aux sources, en relançant une activité ou un savoir-faire disparu. Ils produisent avec soin, en petite quantité et misent tout sur la qualité d’une tradition, tombée en désuétude par la volatilité d’une mode ou les évolutions techniques. Tous attestent du bénéfice de s’adresser directement à une clientèle de particuliers et de professionnels en quête d’authenticité. Des clients pour qui la facture artisanale fournit matière au rêve, et qui redécouvrent les vertus du bel ouvrage.
Le cycle de vie d’un produit se définit par l’ensemble des étapes qu’un produit parcourt de l’extraction des matières premières nécessaires à sa fabrication jusqu’à l’élimination du produit devenu déchet.
Rentabilité, performances, économies… Et si, au-delà de tous ces bénéfices, l’écoconception devenait tout simplement la philosophie « naturelle » et le mode de fonctionnement de base de toute entreprise moderne ? Éléments de réflexion avec Samuel Mayer, directeur du Pôle écoconception et management du cycle de vie à Saint-Étienne (42).
Concevoir un produit ou un service en anticipant ses impacts sur l’environnement durant tout son cycle de vie, tel est le principe de l’écoconception. Un concept à première vue contraignant mais qui booste quasiment à coup sûr la performance et la rentabilité de l’entreprise sans forcément entamer une révolution !
À l’instar du pâtissier qui ne passe pas sa journée à déguster ses créations, Olivier Sulpie n’a pas joué au baby-foot depuis bien longtemps ! Il se "contente" de les fabriquer, en reproduisant les gestes de son père tout en pariant sur l’avenir de ce produit authentique, loin d’être tombé en désuétude.
Toute entreprise artisanale susceptible de créer des risques ou de provoquer des pollutions ou nuisance sur le voisinage et l’environnement, peut être soumise à la réglementation des Installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE).
En quinze ans, Sophie Baron a transformé son entreprise de construction de maisons individuelles en groupe spécialiste de l’habitat. Un parcours exceptionnel porté par une soif de réussite et d’innovation.
Investir en Scop
L’Art Chocolatier ou l’art d’entreprendre en Scop
Le 26/12/2016
par Mélanie Kochert
Sociétés commerciales coopératives basées sur un fonctionnement participatif, les Scop gagnent aujourd’hui en notoriété. Leur modèle s’adapte à tous les secteurs d’activité, y compris aux métiers de l’artisanat. Exemple dans le Vaucluse.
Qu’ils créent des accessoires à partir de skates usagés, recyclent des copeaux de bois en galettes combustibles ou mettent en scène des fleurs dans le respect de l’environnement et le bien-être des hommes, ces trois artisans ont su faire rimer "éco-responsabilité" et "ingéniosité", "création" et "imagination".